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Je n’ai pas connu mon arrière-
grand-père, décédé à la veille
de la guerre civile libanaise, je
l’ai toujours imaginé comme le
dernier témoin d’une époque
disparue… Mais j’ai connu
son piano… Enfant, on me
disait « c’est le piano de geddo
Abdallah » et ce n’est que plus
tard que j’ai compris ce qu’il avait
d’exceptionnel.
nêtre à Paris et s’attendre à voir la mer.
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